« Les défauts cachés dans la façon dont vous mesurez les cétones (et comment y remédier) »
Vous consommez 20 g de glucides, buvez du ketoade, et évitez les sucres cachés. Mais si vous ne suivez pas les cétones avec précision, vous pourriez passer à côté de l'essentiel. Parlons des trois méthodes courantes de suivi des cétones—et de leurs pièges :
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Bandelettes urinaires : Bon marché mais peu fiables. Elles mesurent les cétones en excès (acétoacétate) que votre corps n'utilise pas. Une fois adapté aux graisses, les bandelettes urinaires affichent souvent de faux bas.
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Analyseurs de cétones dans l'haleine : Mesurent l'acétone dans votre souffle. Bien que non invasifs, les résultats varient selon l'hydratation et les habitudes respiratoires.
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Tests sanguins par piqûre au doigt : La référence, mais douloureux, coûteux, et ne capture qu'un instant.
Imaginez conduire une voiture avec un compteur de vitesse qui ne fonctionne qu'une fois par jour. C’est le keto sans données continues ! Les niveaux de cétones fluctuent toutes les heures selon les repas, l'exercice et le sommeil. Un pic à midi dû au jeûne peut chuter après le déjeuner, mais vous ne le sauriez jamais avec des contrôles ponctuels.
Découvrez le capteur CKM de SiBio : Collez-le sur votre bras, et il fonctionne comme un moniteur de glucose—mais pour les cétones. Pendant 14 jours, il enregistre les tendances, signale les baisses, et vous aide à corréler vos habitudes (comme ce snack tardif) avec la cétose. Fini de se demander « Suis-je toujours en cétose ? » Il suffit d'ouvrir l'application et de savoir.